Offscreen
Breakin' 2: Electric Boogaloo
SAM FIRSTENBERG
US, 1984, 35mm, VO ANG / ENG GESPR, 94'
Breakin’, premier du nom, avait réussi l’exploit de devenir un phénomène mondial en surfant sur l’émergence du breakdance et de l’art de rue. Forte de son succès, la Cannon tente de réitérer son chef d’œuvre en produisant une suite sous le signe de la démesure et dela surenchère et bien évidement agrémentée de tout leur savoir-faire en matière de bon goût. Oubliez ici le discours sur les différences, thème effleuré durant le premier opus, tout ne sera ici que prétexte à des danses aussi endiablées qu’absurdes, pour un résultat catastrophique mais à savourer sans modération ! Les afro-américains rigolos reprennent du service, et accompagnent Lucinda Dickey, qui semble peu à peu monter les échelons vers le statut de nouvelle égérie des cousins israéliens (aux côtés de Chuck Norris et Charles Bronson quand-même !).